Rp libre [by Scorpius et Rose]

J'étais assise sur un banc du parc, seule accompagnée de mes livres, fidèles compagnons, ils étaient ma seule compagnie. Pour certain, j'étais pathétique, ainsi isolée. J'avais pourtant essayer d'intégrer des groupe mais soit la présence dans ce groupe de sorciers moins douées que moi et qui ne m'apportait rien dans ma quête de puissance m'insupportais, soit ma jalousie excessive envers les sorciers plus puissants que moi prenais le dessus, et à cause de ces deux raisons on m'excluait du groupe.
J'étais donc seule, mes deux amis étaient les livres et la sollitude, la sollitude c'est comme tout on s'y habitue, moi je m'y étais habituée et il me faisait drôle lorsque quelqu'un m'addressait la parole. Je me sentais géné et dérangée. ET d'une manière comme d'une autre cette personne me rejetait.
Les livres étaient mes meilleurs amis. Je lisais des romans et ils m'ont fait pensé aux histoires des aventures que me raconter ma mère lorsque j'étais encore petite et innocente. J'y repense souvent et ces histoires me rende mélancolique.
J'entendis des gens rire de ma sollitude, eux aussi me trouvaient pathétique. Ces rires m'étaient familliers et je m'y étais habituée. Je restais donc de marbre devant ces moqueries.
Comment dire? Même si les apparences laissent à en doouter, je suis une fille sensible et ce genre de moqueries, même si j'y suis habituée, me rendait triste.
Je vis une larme qui m'importunais glissait sur ma joue, laissant apparaitre ma faiblesse. J'essuyais cette larme traîtresse, je rangeai mes livres et, en voulant guarder un peu de dignité même si il m'en reste peu, partis de ce banc loin de ces regards moqueurs et de ces rire impudents.

Quand j'entendis ces vils paroles, je sentis commme un poignard dans mon égo. Dans une colère inouie, je répondis ironiquement:
"Oh, un Malefoy qui s'addresse à une sang-de-bourbe comme moi, j'en suis honorée!"
Je fis une de mes plus belles réverences et sur un ton tout aussi ironique et méprisant je continuait sur ma lancée:
"Que puis-je faire pour sa majesté le sang-pur? Ma vie n'a nulle valeur, face à la votre..."
Je me rapprochais encore plus de lui, je n'était pas prête à me faire marcher sur les pieds, je sortis ma baguette et je lui fis mon plus beau sourire.
*Enfin un adversaire digne de ce nom... pensai-je doucement*
Je lui dis doucement:
"Je te défie, Scorpius Malefoy! T'aurais pas du m'énervé mon petit gars!"
Je le regardais toujours avec mon sourire.
J'entendis les rires des autres devenir plus intense, je commençais à rougir. Je me repris et dit d'un air assuré:
"Je te laisse le choix du défi et le lieu!"
Je le regardais, les autrs se moquaient de moi comme jamais, je sentais le sang dans mes tempes, j'avais peur de faire une bétise mais maintenant il fallait que j'assume mes actes et mes paroles, je respirai doucement pour me donner du courage et de l'assurance.
J'attendais sa réponse avec impatience.

Je n'avait pas peur d'enfreindre le reglement, qu'importait les conséquences, jamais je ne suis sentie aussi à l'aise, mais dans un paradoxe total, jamais je ne me suis sentie aussi defaillante. je calculais mes chances de gagner, elles étaient infimes. J'avais rarement fait preuves d'autant d'audace, mais les choses étaient faites ainsi et il ne fallait pas que je défaille, il ne fallait surtout pas que je perde, si je le battais, je prouverais aux autres sorciers ma valeur.
En plus son arrogance m'avais mise hors de moi, j'étais prête à en découdre avec lui.
Je lui répondit d'une voix assurée par la colère et l'excitation du duel:
"Qu'importe le règlement et la vie si l'honneur est en jeu! Je peux vivre isolée mais je ne supporterais pas me faire ridiculisée par quelqu'un de ton espéce, Malefoy!"
Ces paroles qui sortait de ma bouche étaient inhabituelles mais je les pensaient vraiment.
Je n'ai jamais été aussi sure de moi qu'à ce moment là, je sentis l'excitation plus que la crainte de perdre la vie montait en moi. J'aimais cette sensation que produisait l'adrénaline dans mon corps, j'aimais cette sensation d'être proche du danger, j'adorais cette sensation qui m'étais alors inconnue. Je sentais une force tout aussi inconnue montait en moi, je me sentis forte, sans pourtant l'être, je me sentis puissante. Je souris sans doute bizarrement, je ^voyais Scorpius avec, si on peux le dire, de nouveaux yeux et je pensais avoir des chances de gagner ce duel.

J'essayais d'imaginer les pièges que le cerveau perfide de Scorpius avait bien pu creer pour m'humilier. N'y arrivant pas, je decida de réfléchir aux quelques atouts que j'avais et surtout à mes faiblesse. Je n'étais pas doté d'un corps robuste et endurant, j'étais même faible, mais la nature m'avait offert, par le plus grand des hasards, d'étonnantes machoires. Je les utilisait, quand j'étais toute petite, comme des armes quasi infallible. On m'avait surnommer le caniche à la machoire de pitbull, car il était vrai que j'étais plutôt chétive. Je décidais de recourir à mes fabuleuses machoires qu'en dernier recours, mais je savais que si je mordais quelqu'un, je le mordrais jusqu'au sang comme je le faisait quand je me sentais en danger étant petite. J'avais un deuxième atout non négligeable, j'avais une connaissance quasi parfaite de l'anatonomie humaine, j'avais lu tout les livres que j'avais pu trouver à ce sujet, je pensais que cela pourrais me servir pendant ce duel. Je preferais donc pour ce combats le corps à corps car il est plus simple de frapper quelqu'un lorsqu'il est proche.
Je déclarais donc:
"On se salut comme dans un vrai duel!"
Je ne suis pas de nature belliqueuse ou sournoise mais en pensant à l'adversaire que je défier, il fallait que je sois maligne rusée et prudente, ma stratégie devrais se basée sur des pièges et des ruses.
J'avais oublier qu'il était entouré de ses amis qui étaient près à preter main forte à Scorpius, je les comptais. Deux. Quatre. Six. Huit. Dix. Ils étaient dix , tous contre moi, tous prêt à protéger mon adversaire si je prenais le dessus sur lui.
*Onze contre un, pas trés equitable comme combat. Tous plus fort que moi, en force brute... Me voila trés desavantager... Pas grave, si je les bats tous cela voudras dire que ma valeur en tant que sorcière est étonante. Un desavantage...* pensai je sereinement en m'approchant de Scorpius pour le saluer avant le combat.
Le vent fouettait mon visage, je respirais lentement et calmement, je ne laissais rien parraitre. Je ne craignais rien, je n'avais rien à perdre, tout à gagner. Je refflechissais interieurement au combat que j'allais mener.Au sournoiserie que je deteste tant et que j'allais devoir utiliser, je sentais que ce duel allais mal finir ou mal commencer en tout cas.
Je saluais mon adversaire.

Ca me bruler la nuque, il fallait que je coupe cette tignasse encombrante. Trouver une solution, mon couteau suisse était resté dans ma valise. Je me mutilais, je tirais mes cheveux, je voulais éteindre ce feu qu'avait allumer que ce scelerat dans mes cheuveux. Au bout de plusieurs minutes, je réussis à éteindre cet incendit, ma longue chevelure s'etait dangeureusement raccourcit.
Je fulminais,je me sentais comme une bête en cage qui étais humiliée par des abrutis. J'étais hors de moi, je regarder autour de moi, je vis la jugulaire bien sayante de Scorpius, parfait pour un point d'accroche mais il fallait me debarrassé de cette baguette.
"Expelliarmus "
Sa baguette fut ejecter et je me jetais corps et âme à la gorge de mon adversaire. Je le bousculai et le frappais de toutes mes forces au visage, j'allais le defigurais et je n'allais pas m'arreter en si bon chemin, il n'avait pas hésiter à me cramer ma tignasse rousse, le seul sentiment de vengeance me donnait des forces nouvelles. Je le cognais, j'allais le battre à mort avec mes petits poings.
Je sentais la fureur dans mon corpss augmentais, Scorpius allais morfler. Il m'avait enlever mes cheveux, j'allais lui transformer ce visage qui m'insupportais.
Je n'entendais plus rien, ni les rires moqueurs, ni le vent soufflait, je n'entendais plus que le sang dans mes tempes, que la rage que je ressenttais. Mes yeux se brouillaient, je ne voyais que le visage de mon ennemi.
Je commencais à perdre du souffle, mes coups, je le sentais, se faisais moins forts.

Quand il comprit ce qu'elle cherchait à faire, une autre idée germa dans sa tête d'un seul coup. Si rapidement que cela l'étonna lui même. Rose, en courant vers lui comme une déchaînée avait fait aussi tomber sa baguette. Même si elle avait réussi à lui enlever la sienne il allait la récupérée. Elle avait rouler quelques mètres plus loin dans l'herbe.

Cependant le contact de ses ongles dans sa peau le fit reprendre conscience vite fait. Il se remémora où il était et qui il affrontait. Un flot de haine, de rage, de colère s'embrasa alors en lui comme une trainée de poudre. Scorpius ne la laisserai pas faire. Elle n'abimerait pas son beau visage. Il ne lui avait que cramer les cheveux, pas détruit de visage.

Il lui prit une main, ne réussissant pas à prendre l'autre car Rose gigotait trop, comme un poisson hors de l'eau qui aurait besoin d'air... ou comme une savonnette visqueuse qui vous glisse des mains dès que vous voulez la saisir. Ils roulèrent un peu plus loin. Il lui tordit violemment la poignet pour qu'elle arrête de bouger tout le temps.

*Juste au bon endroit, c'est parfait; pensa-t'il*

Il la sentit faiblir un peu dans son intensité mais il n'en tenait pas compte car il ne se laisserai pas avoir par une telle peste et de plus, par une sang de bourbe de son rang ! Tout son corps semblait s'animer d'une force qui découlait surement de toute la haine, de toute la colère et de toute la rage qu'il y avait en lui. Ce n'était pas juste un duel comme ça. C'était un combat pour l'honneur de deux noms : Malefoy & Weasley. Rien d'autre n'avait plus d'importance à ses yeux. Le combat au corps à corps était bien plus attirant et plus défoulant aussi. Il s'en donna à coeur joie. Bien qu'il reçut aussi des coup de Rose, dont une morsure au cou qui saignait abondamment il réussit à la repousser et lui enfonçant son doigt dans son oeil.

Scorpius colla son adversaire par terre avec lui. Il tendit rapidement la main qui toucha sa baguette. Sans perdre une seconde de plus il prononça: "Tarrentallegra"

Quand Scorpius me tordit la main, un couinement aigue sortit de ma bouche,c'était la premiere fois que l'on me faisait mal à ce points, je ne sentais meme plus ma main. J'en concluais que mon adversaire m'avait cassé le poignet.
Quand ce scélérat fit danser mes jambes, ma colère n'en fut que plus forte et ma determination plus accrue.
*Tu me cherche, tu me trouve, Malefoy, faudra pas se plaindre après ... pensai-je*
Mes jambes continuais à dansaient.
"Vous allez arreter et vous m'obéissez maintenant!"
Il est débile de parler à ses jambes mais c'etait un cas légitime et en plus cela me permettait de me concentrer. Rien à faire mes nerfs étaien à bout, il fallait que je fasse quelque chose, odiot ou intelligent peu importait. Je voulais en finir, il fallait agir, reflechir à une solution. J'allais une deuxième fois utiliser cette solution qui me déplaiser pourtant. Il fallait le faire. Je devais faire face à cette douleur dans mon poignet. Je respirais à fond, je serrais les dents, je pris ma jambe, j'enfonçai mes ongles dans ma chair. Je sentais la douleur et de mon poignet et de ma jambes être à leur paroxisme mais il fallait immobiliser ces jambes ensorcelés oute que coute, j'étais prête à tout pour les arrétés. Je ne sais pas ce qui s'est passé, mais il y a dû avoir une interference nerveuse ou un truc du genre, le fait est que la deuxième jambe a céssé de bouger.
Je sentis une rage telle que je sentais que je pouvais le tuer sur place. Je me jettais une nouvelle fois au cou de mon adversaire, je lui assenais mes coups les plus puissants tout en essayant de lui enlever sa baguette. En vain. J'essayais de me lever sans trop me faire mal, j'étais tellement énervée et je voulais me venger. Je lui écrasais la main jusqu'à entendre un craquement.